Quelles sont les 5 blessures qui empêchent d'être Soi-même ?
Quelles sont les 5 blessures qui empêchent d'être Soi-même ? ? Les 5 blessures de l'âme- selon Lise Bourbeau
7/17/202314 min read
les 5 blessures qui empêchent d'être Soi-même ?
Dans son ouvrage captivant intitulé "Les 5 blessures qui empêchent d'être soi-même", Lise Bourbeau plonge au cœur de l'âme humaine pour révéler cinq blessures fondamentales qui peuvent entraver notre épanouissement personnel.
Ces blessures - le rejet, l'abandon, l'humiliation, la trahison et l'injustice - sont des expériences émotionnelles douloureuses qui influencent notre comportement et notre perception du monde. Pour nous protéger de ces blessures, nous développons inconsciemment des masques, des mécanismes de défense qui nous empêchent souvent d'être authentiques. Cependant, en prenant conscience de ces mécanismes et en comprenant nos blessures, nous pouvons entamer un processus de guérison profonde et de transformation personnelle.
Introduction du livre Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même et masques associés
Dans cette première partie, Lise Bourbeau expose la prémisse essentielle de son livre : toutes nos souffrances découlent de cinq blessures fondamentales.
Elle les nomme blessures du rejet, de l'abandon, de l'humiliation, de la trahison et de l'injustice. Face à la douleur que ces blessures engendrent, nous adoptons inconsciemment des masques, des comportements de protection qui dissimulent notre vraie nature.
Toutefois, en acceptant ces mécanismes et en les reconnaissant, nous ouvrons la voie à une réelle authenticité et à une véritable guérison.
Lise Bourbeau éclaire les étapes qui conduisent à la formation de nos blessures. Tout commence à notre naissance, où nous éprouvons instinctivement la joie d'être nous-mêmes. Puis, nous sommes confrontés à la douleur de ne pas pouvoir agir en accord avec notre nature véritable. Cette période est suivie d'une crise et d'une révolte liées à la souffrance de ne pas être authentiques. Enfin, pour apaiser cette douleur, nous nous résignons et créons une nouvelle personnalité, façonnée pour plaire aux autres et rechercher leur amour. Ce sont nos émotions et notre construction mentale face à ces expériences qui engendrent les blessures, et non les événements eux-mêmes.
Les cinq masques associés aux cinq blessures
Lise Bourbeau développe l'idée que pendant les phases de création de nos blessures, notre ego élabore des masques pour nous protéger de la souffrance vécue. Ces masques, au nombre de cinq, correspondent aux cinq grandes blessures mentionnées précédemment. Selon la gravité de nos blessures, nous adoptons ces masques de manière plus ou moins fréquente.
Ils prennent la forme du "fuyant" pour le rejet, du "dépendant" pour l'abandon, du "masochiste" pour l'humiliation, du "contrôlant" pour la trahison et du "rigide" pour l'injustice.
Les types de personnalités pour reconnaître nos blessures
Lise Bourbeau dresse les portraits complets du "fuyant," du "dépendant," du "masochiste," du "contrôlant" et du "rigide," afin que chaque lecteur puisse reconnaître son propre comportement.
Elle explore l'origine de chaque blessure, ses liens avec les parents, et les peurs et besoins qui en découlent. De plus, elle décrit comment chaque blessure peut se manifester à travers des aspects physiques, des traits de caractère et des comportements émotionnels et mentaux. L'auteure souligne que l'observation de notre physique est une méthode sûre pour nous reconnaître dans ces portraits, car notre corps ne ment pas.
La Trahison : portrait de l’impuissant
Blessure : La trahison
Masque : le contrôle
Plus grande peur : la dissociation et le reniement
Plus grand besoin : la liberté
Parent : du sexe opposé
L’éveil de la blessure : entre 2 et 4 ans, avec le parent du sexe opposé
La trahison signifie cesser d’être fidèle à quelqu’un ou à une cause, abandonner ou livrer quelqu’un. Ceux qui souffrent de trahison n’ont souvent pas résolu leur complexe d’Œdipe étant jeunes. Ils ont été déçus et ont souffert de ne pas voir leurs attentes comblées avec le parent du sexe opposé. Adultes, ils ont tendance à accuser les personnes du sexe opposé d’être la cause de leur douleur et de leurs émotions.
Le corps de celui qui souffre de trahison est souvent mince. Le bassin est étroit, les fesses plates, et il présente des faiblesses au niveau de la gorge, du cou, des bras et des jambes. Cette personne a peu d’énergie, les mains et les pieds froids. Le visage est souvent un peu fermé, les yeux sont petits et fatigués, et la voix est douce et basse.
Le « contrôlant » emploie souvent : « Dissocié », « as-tu compris ? », « je suis capable », « laisse-moi faire seul », « je le sais », « je le savais », « fais-moi confiance », « je ne lui fais pas confiance », « écoute-moi », « j’avais raison », « c’est vrai », « franchement ».
Les plus grandes peurs du « contrôlant » : Le reniement (être trahi) et la dissociation sous toutes ses formes : la séparation de couple l’effraie profondément, mais il craint aussi la séparation sur le plan professionnel. Il a également peur de la colère de l’autre ou de sa propre colère, de ne pas pouvoir convaincre l’autre, de passer pour un menteur, de se confier, de montrer sa vulnérabilité, de se faire manipuler ou séduire, d’être obligé de s’engager.
Les plus grands besoins du « contrôlant » : La liberté et l’indépendance, car cela lui permet d’être seul maître de sa vie. Il a besoin d’être admiré pour ce qu’il est et ce qu’il fait.
L’Injustice : portrait du rigide
Blessure : L’injustice
Masque : La rigidité
Plus grande peur : La froideur
Plus grand besoin : La liberté
Parent : Du même sexe
L’éveil de la blessure : Entre 4 et 6 ans, surtout avec le parent du même sexe
Pour une personne qui souffre de cette blessure, elle se sent incomprise, non respectée, ou ne reçoit pas ce qu'elle estime mériter.
Cette blessure se développe lors de la formation de l'individualité de l'enfant. L'enfant perçoit souvent le parent du même sexe comme froid et sévère, ce qui le fait se sentir injustement empêché d'être lui-même. Pour se protéger, l'enfant refoule sa sensibilité et adopte un comportement rigide, cherchant à être parfait et performant (blocage de l'individualité).
Une fois adulte, le « rigide » accuse souvent les personnes du même sexe d'être injustes envers lui.
Le corps de celui qui souffre d'injustice est rigide, bien proportionné et soigné. La posture est droite, la démarche assurée et l'apparence est séduisante. Il a des épaules carrées et des fesses rondes ou bombées. Le ventre est plat, souvent serré par des vêtements ajustés. Le « rigide » est fier de sa posture.
Les mouvements sont secs et rigides, les mâchoires serrées. Il croise souvent les bras, bloquant ainsi son plexus solaire. Sa peau et ses yeux sont clairs, son teint rayonnant. La voix est sèche, et il parle de manière mécanique et réservée.
Le « rigide » emploie souvent : « Dissocié », « as-tu compris ? », « je suis capable », « laisse-moi faire seul », « je le sais », « je le savais », « fais-moi confiance », « je ne lui fais pas confiance », « écoute-moi », « j’avais raison », « c’est vrai », « franchement ».
Les plus grandes peurs du « rigide » : La froideur : Il craint d'être perçu comme froid et insensible malgré ses efforts pour paraître chaleureux. • Le besoin de liberté : Il désire être libre d'être lui-même et de s'exprimer sans contraintes.
Les plus grands besoins du « rigide » : Accepter ses imperfections et apprendre à faire face à ses émotions sans se juger. • Accorder plus d'importance à son bien-être intérieur plutôt qu'à l'image qu'il renvoie aux autres.
Le Rejet : portrait du fuyant
Blessure : Le rejet
Masque : La fuite
Plus grande peur : La panique
Plus grand besoin : L’appartenance
Parent : Du même sexe
Le rejet est une blessure profonde qui touche l'être directement, conduisant l'enfant à ressentir le sentiment d'être rejeté dans son être et dans son droit d'exister. C'est la première blessure à se manifester dans la vie, et elle peut même apparaître avant la naissance si l'enfant est non désiré. Cette blessure est vécue avec le parent du même sexe, et en conséquence, le "fuyant" se sentira plus tard rejeté par les personnes du même sexe que lui.
Le corps de celui qui souffre de la blessure du rejet est fuyant, petit, étroit, mince, et il semble incomplet ou fragmenté. Il a l'impression de ne pas vouloir prendre trop de place, cherchant à disparaître et à ne pas utiliser trop d'espace. Ses yeux sont petits, son regard est fuyant, et sa voix est faible et éteinte.
Le "fuyant" préfère les vêtements noirs ou de couleurs ternes pour ne pas attirer l'attention. Il évite souvent de danser ou danse de manière effacée en émettant le message "ne me regardez pas trop". Lorsqu'il s'assoit, il se fait tout petit sur sa chaise et cache souvent ses pieds sous ses cuisses.
Il a un appétit souvent coupé par les émotions ou la peur, mange de petites portions et est prédisposé à l'anorexie ou à la consommation de substances pour fuir ses émotions.
Les maladies qui peuvent se manifester chez le "fuyant" incluent les problèmes de peau, les diarrhées, l'arythmie, le cancer, les problèmes respiratoires, les allergies, les vomissements, les évanouissements, le coma, l'agoraphobie, l'hypoglycémie, le diabète, la dépression et la psychose.
Le "fuyant" a un comportement effacé et recherche la solitude. Il a peu d'amis à l'école et au travail, parle peu et se réfugie dans son monde imaginaire. Il est un grand perfectionniste et recherche la perfection dans tout ce qu'il fait, car il craint d'être jugé et rejeté s'il fait une erreur. Il peut passer par des phases de grand amour à des phases de haine profonde, rencontre des difficultés sexuelles et peine à laisser vivre son enfant intérieur.
La plus grande peur du "fuyant" est la panique, mais il ne s'en rend souvent pas compte car il trouve le moyen de s'éclipser juste avant de paniquer. Il craint également de ne pas être intéressant, d'être considéré comme nul ou sans valeur, d'être incompris et que l'autre ne l'écoute que par obligation ou politesse. Son plus grand besoin est l'appartenance, mais il fait tout pour passer inaperçu, croyant qu'il n'en vaut pas la peine.
L’Abandon : portrait du dépendant
Blessure : L’abandon
Masque : La dépendance
Plus grande peur : La solitude
Plus grand besoin : L’attention
Parent : Du sexe opposé
L'abandon est vécu avec le parent du sexe opposé, et le "dépendant" se sent facilement abandonné par les personnes du sexe opposé. Cette blessure peut être causée par le manque de nourriture affective ou physique, par exemple, des parents très occupés ou un enfant hospitalisé.
Le corps de celui qui souffre de l'abandon est long, mince, manque de tonus et présente des parties flasques ou tombantes. Les jambes sont faibles, le dos est courbé, et les bras semblent trop longs et pendent le long du corps. Le visage et les yeux du "dépendant" sont ronds et ouverts, donnant une impression d'innocence enfantine. Sa voix est plaintive avec une intonation d'enfant.
Le "dépendant" préfère les vêtements amples ou pendants et aime danser pour exprimer sa sensualité et se coller à son partenaire. Il recherche la présence, l'attention et le soutien de son entourage, en particulier de son conjoint s'il est en couple. Il peut entretenir des relations fusionnelles avec les autres et s'accrocher physiquement à la personne aimée.
Il a des hauts et des bas émotionnels, pleure facilement, et cherche souvent à attirer la pitié en évoquant ses problèmes. Il peut jouer le rôle de "sauveur" pour recevoir l'attention des autres. Dans un groupe, il aime parler de lui, surtout au passé, et cherche à attirer l'attention sur lui.
Le "dépendant" a du mal à exprimer ses besoins par peur d'avoir honte de lui-même ou de faire honte à quelqu'un d'autre. Il a du mal à faire ou à décider quelque chose seul et demande souvent des opinions sans forcément suivre les conseils donnés. Il a peur d'être seul, angoissant de plus en plus à l'idée de l'être en vieillissant.
Sa plus grande peur est la solitude, et il évite de se retrouver seul en s'occupant avec la télévision ou le téléphone. Il craint également de pleurer, de passer pour un bébé, que l'autre parte, d'être considéré comme égoïste s'il dévoile ses besoins ou ses désirs, d'être abaissé ou humilié, de se sentir indigne, et de ne pas être soutenu comme il le souhaiterait.
Son plus grand besoin est l'attention et le soutien des autres pour se sentir aimé et aidé.
L’Humiliation : portrait du masochiste
Blessure : L’humiliation
Masque : Le masochisme
Plus grande peur : La liberté
Plus grand besoin : La liberté
Parent : La mère
L'humiliation est l'action de se sentir abaissé ou d'abaisser quelqu'un d'autre, et cette blessure est rattachée au monde physique, de l'avoir et du faire. Elle est vécue avec le parent qui s'est occupé du développement physique et sexuel de l'enfant, ce qui peut être un seul parent ou les deux.
Le corps de celui qui souffre de la blessure d'humiliation est gros ou rondelet, avec un surplus de graisse, une taille courte, un cou gros et bombé. Il présente des tensions au cou, à la gorge, aux mâchoires et au pelvis, contenant beaucoup d'énergie bloquée. Le visage et les yeux du "masochiste" sont ronds, ouverts et innocents comme ceux d'un enfant. Sa voix est mielleuse, déguisant souvent ses sentiments pour passer pour une personne intéressée.
Le "masochiste" préfère les vêtements serrés, ce qui accentue ses rondeurs, et il tâche fréquemment ses vêtements. Il aime beaucoup danser pour exprimer sa sensualité et se coller à son partenaire. Il peut se sentir inconfortablement assis, souvent en s'appuyant sur quelque chose.
Il a un bon appétit, mange rapidement et ajoute sel et épices à ses repas. Le "masochiste" peut souffrir de comportements boulimiques ou manger par petites portions, ressentant de la honte à s'acheter ou à manger des friandises, mais se récompense par la nourriture.
Les maladies qui peuvent se manifester chez le "masochiste" sont celles en lien avec le contrôle et la perte de contrôle de certaines parties du corps, ainsi que l'agoraphobie, la spasmophilie, les raideurs aux articulations, les problèmes digestifs, les maladies finissant en "ite", l'herpès buccal, et la peur de la folie.
Le "masochiste" trouve de la satisfaction à souffrir et recherche inconsciemment la douleur et l'humiliation. Il a du mal à exprimer ses besoins et ce qu'il ressent par peur d'avoir honte de lui-même, des autres ou de faire honte à quelqu'un. Il se blâme souvent pour tout, prend le blâme des autres, et peut jouer le rôle de "sauveur" pour attirer l'attention sur lui.
Il a du mal à accepter les imprévus et déteste qu'on lui change ses plans. Le "masochiste" emploie souvent les mots "être digne", "être indigne", "petit", "gros", "ce n'est pas digne de toi", "c'est honteux", "cochon", "sale".
Sa plus grande peur est la liberté, car il craint d'être illimité et d'avoir trop de plaisir. Ses autres peurs sont le reniement, la séparation de couple, la séparation professionnelle, la colère de l'autre ou sa propre colère, la peur de ne pas pouvoir convaincre l'autre, de passer pour un menteur, de se confier, de montrer sa vulnérabilité, de se faire manipuler ou séduire, et d'être obligé de s'engager.
La guérison des cinq blessures qui empêchent d'être soi-même
L'acceptation, préalable indispensable à la guérison
Pour entamer la guérison des blessures, il est essentiel de reconnaître nos propres blessures, en identifiant les masques que nous utilisons pour les cacher. Accepter ses blessures et les regarder avec amour inconditionnel est un préalable indispensable à la guérison. Cette prise de conscience peut être longue et difficile, car l'ego crée souvent des croyances pour éviter de faire face à nos blessures.
Lise Bourbeau propose une méthode en quatre étapes pour guérir nos blessures :
Devenir conscient du masque que l'on porte grâce à une introspection et à l'identification des comportements associés à nos blessures.
Éprouver une révolte ou une résistance face à cette prise de conscience, car notre ego peut chercher à éviter de reconnaître notre responsabilité.
Se donner le droit d'avoir souffert et d'avoir ressenti de la rancune envers nos parents ou proches, en comprenant que cela fait partie du processus d'adaptation à notre environnement familial.
Redevenir soi-même en acceptant que nous n'avons plus besoin de porter ces masques, ce qui permet de retrouver l'amour de soi et la liberté d'être authentique.
Lorsque nos blessures sont en voie de guérison, nous présentons des indicateurs tels que l'affirmation de soi, l'acceptation de l'absence d'appui des autres, la capacité à montrer sa sensibilité, la compassion envers soi-même et envers les autres, entre autres.
Il est important de comprendre que la guérison des blessures nécessite un travail en profondeur, de la patience et de la bienveillance envers soi-même. En faisant face à nos blessures et en nous pardonnant, nous pouvons entamer un chemin de transformation intérieure qui nous permettra d'être plus en harmonie avec nous-mêmes et avec les autres.
Les transformations liées à la guérison
Lorsque l'on parvient à guérir ses blessures, plusieurs transformations positives peuvent se manifester dans notre vie grâce à l'amour et à l'énergie régénératrice qui en découlent.
La guérison des blessures apporte notamment :
• La compassion pour soi-même : Cela conduit à une plus grande paix intérieure en réduisant la colère, la honte et la rancune.
• L'amour véritable ou l'expérience d'être soi-même : S'aimer signifie se permettre d'être tel que nous sommes actuellement et de nous accepter malgré nos imperfections et nos comportements envers les autres.
• L'autonomie affective : Cela se traduit par la capacité de savoir ce que nous voulons et de prendre les actions nécessaires pour atteindre nos objectifs.
Les forces cachées par type de personnalité
Lise Bourbeau énumère les forces dissimulées derrière chaque type de caractère. Ces forces, souvent enfouies ou mal utilisées à cause de nos masques, peuvent se révéler une fois nos blessures guéries :
La personne « fuyante » : Elle est capable de résister à de nombreuses épreuves, dotée d'une endurance au travail. Débrouillarde, inventive et réactive, elle pense à de nombreux détails et peut être heureuse en étant seule.
La personne « dépendante » : Elle est habile, tenace, persévérante et déterminée. Dotée d'une personnalité gaie, enjouée et sociable, elle possède des talents artistiques et sait capter l'attention. Elle peut aider les autres et exploiter ses dons psychiques.
La personne « masochiste » : Elle est audacieuse, aventureuse, sensible à ses besoins et à ceux des autres. Elle possède de grandes capacités et est douée pour la médiation et la conciliation. Joyeuse, généreuse, serviable, altruiste et organisatrice, elle fait preuve d'une grande dignité.
La personne « contrôlante » : Elle est rassurante, protectrice, talentueuse et sociable. Bonne comédienne, elle a des qualités de leader et est habile à s'exprimer en public. Elle sait encourager les talents des autres et leur donner confiance en eux. Elle peut déléguer, valoriser, lâcher prise et dédramatiser en utilisant l'humour. Très performante, elle gère plusieurs tâches en même temps et prend rapidement des décisions.
La personne « rigide » : Elle est créative, enthousiaste, vivante et très sensible. Dotée d'une grande énergie et d'une capacité de travail, elle est également ordonnée, soucieuse du détail et capable d'expliquer clairement. Réactive, elle fait face aux situations difficiles.
Conclusion sur « Les 5 blessures qui empêchent d'être soi-même »
« Les cinq blessures qui empêchent d'être soi-même » de Lise Bourbeau est un livre qui suscite des réactions partagées. Dès le début, le ton direct, simpliste et sombre employé par Lise Bourbeau peut rendre la lecture délicate pour certains lecteurs. Cependant, au-delà de cet aspect, le livre offre une analyse profonde et éclairante des blessures qui façonnent notre comportement et notre relation aux autres.
En mettant en lumière les masques que nous portons pour dissimuler nos blessures, Lise Bourbeau nous invite à un voyage introspectif pour découvrir notre véritable nature. Le livre offre des pistes intéressantes pour entamer un processus de guérison et de transformation personnelle, en acceptant nos blessures et en faisant preuve de bienveillance envers nous-mêmes.
Grâce à cette guérison, nous pouvons libérer nos forces intérieures et vivre plus en harmonie avec nous-mêmes et avec les autres.
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Je m'appelle Francesca DRAGHI.
Je suis une maman travailleuse passionnée de lecture, art, écriture et nature.
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